Activités
Faux plafonds, rosaces, moulures : rien d'impossible pour le plâtrier ! Il prépare des surfaces parfaitement lisses et polies pour les peintres ou les menuisiers. Puis, il " gâche " le plâtre ou projette l'enduit mécaniquement pour obtenir des effets de matière ou de crépi. Seul ou en équipe, sur des chantiers de construction neuve ou de rénovation, le plâtrier peut aussi être maçon ou peintre en bâtiment. Et, pour élargir ses débouchés, se faire plaquiste et apprendre à travailler des matériaux " prêts-à-poser " comme les plaques et les carreaux de plâtre. Agile, rapide, précis, soigneux et résistant, tel est le portrait du plâtrier. Les spécialisations de stucateur ou staffeur ornemaniste offrent de bons débouchés. Ces professionnels interviennent dans la restauration des monuments historiques ou la décoration des magasins, des hôtels... à une condition : savoir dessiner et connaître les styles artistiques, aussi bien classiques que contemporains.
Qualités requises
Rapide et précis
Le plâtre séchant très vite, e plâtrier doit être relativement rapide pour effectuer les travaux. Si la rapidité d'exécution est cruciale, elle doit s'accompagner d'un geste précis.
Habile et soigneux
Réaliser des décorations et des enduits demande une grande minutie. Le plâtrier doit être particulièrement appliqué, notamment lorsque l'enduit compose la décoration définitive de la cloison. Il peut se spécialiser dans une technique particulière, demandant encore plus de savoir-faire.
Bon relationnel et polyvalence
Au-delà de ses compétences manuelles, le plâtrier doit être doté de qualités relationnelles, notamment lorsqu'il est installé à son compte et qu'il a un contact direct avec la clientèle. Posséder des connaissances en électricité, en étanchéité, en isolation est aussi nécessaire.
Salaire
Salaire net débutant
1580 €
Salaire net médian
1740 €
La fiche métier sur le web