Les récentes tempêtes ont mieux fait connaître le travail des ouvriers forestiers. Sylviculteurs ou bûcherons, ils réalisent au quotidien les travaux d'entretien et d'aménagement des massifs forestiers. Un métier à exercer en plein air... qu'il pleuve, neige ou vente.

L'ouvrière ou l'ouvrier paysagiste aménage et entretient les jardins des particuliers ou les espaces verts publics. Selon le cas, ces professionnels sont des agents du service public ou des employés d'une entreprise du paysage.

Ne pas tirer sur la laisse, rester assis, venir à l'appel, ne pas mordre... voici quelques-uns des comportements que l'éducateur canin inculque aux chiens non disciplinés.

Très proche du terrain, le technicien forestier est un véritable gestionnaire de la forêt. Cette profession, aux débouchés restreints, s'adresse à des jeunes motivés par le contact avec la nature.

Le technicien ou la technicienne paysagiste travaille rarement en solo : c'est toute une équipe qu'il lui faut gérer pour réaliser jardins et espaces verts, en se conformant aux plans du paysagiste concepteur.

Bras droit de l'agriculteur, l'ouvrier agricole participe à tous les travaux d'une exploitation. C'est une occupation pointue et un bon marchepied pour s'installer ensuite à son compte.

Avec près de 15 millions d'hectares, la forêt française a besoin de professionnels. L'ingénieur forestier en fait partie. Il gère les projets d'aménagement et d'exploitation de cet immense territoire, tout en respectant l'environnement.

Trompeur, le terme de garde à cheval recouvre pas loin d'une dizaine de métiers : garde républicain, garde nature... En ville comme en milieu rural, leur objectif est commun : le maintien de l'ordre.

Les gardes-chasse, gardes-pêche, gardes du littoral, gardes-rivière et gardes des parcs nationaux ont pour mission de protéger l'environnement, la faune et la flore par des actions de prévention, de répression et d'éducation.

Une appellation, deux professions : le contrôleur laitier et le contrôleur de croissance. Tandis que le premier analyse la qualité du lait, le second surveille la prise de poids du bétail destiné à la boucherie. Un appui technique indispensable pour les éleveurs.